La céramique de poêle en Alsace (xive-xviie siècles) : sociétés, arts, techniques

DOI : 10.57086/rrs.101

p. 229-235

Plan

Notes de la rédaction

La thèse a été soutenue le 21 décembre 2018 à l’université de Haute-Alsace devant un jury composé de Georges Bischoff, professeur émérite d’histoire médiévale (université de Strasbourg, président du jury), Luc Bourgeois, professeur d’archéologie médiévale (université de Caen Normandie, rapporteur), Yves Henigfeld, maître de conférences en histoire de l’art et archéologie (université de Nantes, rapporteur), Pierre Fluck, professeur d’histoire des techniques et d’archéologie industrielle (université de Haute-Alsace, directeur), Jean-Jacques Schwien, maître de conférences en archéologie médiévale (université de Strasbourg, co-directeur), Sebastian Brather, professeur d’archéologie médiévale (université de Fribourg-en-Brisgau) et Harald Rosmanitz, chercheur indépendant.

Texte

  • Fac-similé (PDF – 123k)
  • XML TEI

« M. de Montaigne, qui couchait dans un poêle, s’en louait fort et de sentir toute la nuit une tiédeur d’air plaisante et modérée. Au moins on ne s’y brûle ni le visage ni les bottes et est-on quitte des fumées de France. Aussi, là où nous prenons nos robes de chambres chaudes et fourrées entrant au logis, eux, au rebours, se mettent en pourpoint et se tiennent la tête découverte au poêle, et s’habillent chaudement pour se remettre à l’air »2.

Cet extrait du Journal de Voyage de Montaigne raconte les sensations de celui-ci lors d’une nuit passée à Bâle dans une pièce chauffée par un poêle. Les atouts de ce système de chauffage, par rapport à la cheminée française, sont ici clairement mis en avant. À la fin du xvie siècle, au moment du voyage en Italie de Montaigne, le poêle existe déjà depuis plusieurs siècles dans l’espace germanique puisqu’il semble être apparu dans un espace géographique englobant l’actuelle Alsace, le nord et l’ouest de la Suisse ainsi que le sud-ouest de l’Allemagne aux alentours de 800. Néanmoins, la céramique de poêle en Alsace, pour la période allant du xive siècle au début du xviie siècle – depuis l’apparition des carreaux à décors jusqu’à l’avènement des poêles en fonte –, n’a jusqu’à présent pas fait l’objet d’études approfondies. Dans cette thèse, nous nous sommes donc efforcée de rassembler le corpus le plus complet possible de céramiques de poêle alsaciennes. L’attention a été portée avant tout sur les décors et sur leur répartition dans le temps et dans l’espace, mais aussi au sein des différents types de sites (urbains, ruraux, castraux, etc.) ; par extension, nous nous sommes intéressée à la répartition des motifs décoratifs en fonction des catégories sociales, entre Vosges et Rhin, pour les époques considérées.

Définition de l’objet d’étude

Le chauffage au poêle est apparu aux alentours de 800 entre l’Alsace, le nord et l’ouest de la Suisse et le sud-ouest de l’Allemagne. Il s’est ensuite surtout diffusé vers l’est et le nord de l’Europe jusqu’à atteindre la mer Noire, l’actuelle République Tchèque et les pays scandinaves. La limite occidentale de cette zone d’expansion est à placer aux alentours de Nancy-Metz et la limite méridionale au sud de la Suisse. Il est à noter qu’il s’agit ici d’un espace géographique où les hivers sont rigoureux, ce qui est sans doute l’une des raisons ayant contribué au développement du chauffage au poêle dans ces régions.

Ce système de chauffage a ensuite connu des évolutions, selon une chronologie propre à chaque région. Une rupture se produit au xive siècle dans tous ces espaces : un nouveau type de poêle et de modules (les carreaux) apparaît. Celui-ci perdure jusqu’à la veille de la Seconde Guerre mondiale et connaît un renouveau de nos jours. Cette rupture se fait à un rythme différent en fonction des régions, mais à la fin du xive siècle, elle semble achevée dans l’ensemble de l’aire d’expansion du chauffage au poêle.

Le poêle est un système de chauffage qui demande une certaine technicité à la fois pour sa propre construction, mais également pour la fabrication des différents éléments qui le composent. La construction d’un poêle est un travail qui s’apparente à de la maçonnerie : les carreaux des différentes assisses sont montés en quinconce pour une meilleure stabilité, et intercalés d’une couche d’argile crue ou de chamotte, un mélange d’argile et de tessons finement broyés ou de sable de rivière. Le poêle peut être de plan carré, rectangulaire, polygonal ou en abside. Il est composé d’un foyer alimentant une enceinte totalement fermée et permettant une diffusion homogène et continue de la chaleur, contrairement à la cheminée et à son foyer ouvert. Les connaissances sur le fonctionnement du poêle médiéval souffrent encore aujourd’hui de nombreuses lacunes, les sources, tant archéologiques qu’iconographiques ou textuelles, nous faisant défaut sur nombre de questionnements (fonctionnement interne du poêle, évacuation des fumées, matériaux, etc.).

En ce qui concerne la fabrication des éléments constitutifs du poêle, c’est-à-dire les carreaux, elle passe au préalable par celle des moules. Ceux-ci peuvent être en bois, en plâtre ou en céramique. Malheureusement peu de moules de la période étudiée nous sont parvenus. Les carreaux sont donc moulés, puis laissés à sécher et ensuite cuits. Des imperfections liées aux différentes étapes de fabrication peuvent parfois apparaître sur les motifs des carreaux.

Bilan historiographique

Les premières études sur la céramique de poêle datent de la seconde moitié du xixe siècle. Elles sont avant tout celles d’auteurs germanophones et se cantonnent, jusque dans les années 1900, à l’établissement de catalogues dans lesquels l’aspect esthétique est le critère principal. Le mobilier étudié est alors issu des collections anciennes des musées3 : ces travaux ne concernent donc pas le mobilier issu de fouilles archéologiques contemporaines. C’est une période de découverte des collections et de collecte d’informations. Dans les années 1910, toujours dans l’espace germanophone, les recherches se concentrent sur l’origine du poêle et des auteurs comme Rudolf Meringer4 ou Otto Lauffer5 vont chacun défendre leurs hypothèses par articles interposés sans, pour autant, arriver à une conclusion satisfaisante.

Après la Seconde Guerre mondiale, les travaux concernant la céramique de poêle se multiplient avec, une nouvelle fois, une prédominance de travaux de langue allemande. Dans les années 1960 et 1970, les recherches sont avant tout le fait d’historiens de l’art, qui, sauf pour les chercheurs suisses, s’intéressent peu au mobilier issu de fouilles archéologiques mais surtout aux carreaux et aux poêles conservés dans les musées. Ces décennies voient de fait la multiplication des typo-chronologies. Ces travaux permettent aujourd’hui une meilleure identification des motifs et constituent une grande partie de notre bibliographie primaire en ce qui concerne l’iconographie et l’histoire de l’art. Ils se sont notamment avérés très utiles pour effectuer des comparaisons à l’échelle de la zone d’expansion du chauffage au poêle, mais ont conduit à un déficit au niveau de la recherche locale et en ce qui concerne la terminologie. En Alsace, le sujet n’a été abordé globalement que par Jean-Paul Minne6.

Dans les années 1980, différents groupes de travail se mettent en place pour pallier le déficit des recherches antérieures. L’étude de la céramique de poêle devient alors une véritable composante de la céramologie avec des données plus techniques et scientifiques. Les archéologues trouvent leur place dans ces études qui commencent à profiter des apports des recherches menées sur d’autres ensembles mobiliers et notamment la céramique culinaire. Les travaux de ces groupes s’intéressent également de plus en plus à la céramique de poêle issue des fouilles et font avancer les questions de terminologie, la dernière pierre à cet édifice étant l’ouvrage d’Eva Roth Heege7 qui aboutit à un lexique en dix-sept langues. Avec les années 2000, les travaux concernant la céramique de poêle sont de plus en plus interdisciplinaires et axés autour d’un thème central, celui des motifs, abordé sous un nouvel angle : on ne s’intéresse plus seulement à ce qu’ils représentent (histoire de l’art) mais également à ce qu’ils peuvent nous apprendre sur la société, les échanges culturels et commerciaux (archéologie, histoire, ethnologie).

Les matériaux de la recherche

Contexte des découvertes

Une étude complète de la céramique de poêle ne peut être envisagée sans l’analyse préalable et détaillée des différents matériaux utilisés pour produire cette recherche. Une catégorie importante du corpus a été fournie par les sites archéologiques eux-mêmes. Ceux-ci peuvent être répartis en quatre types : les sites urbains, castraux, miniers et ruraux. Il s’agit dans ce cas de sites contextualisés – à l’opposé des réserves des collections muséales – car les carreaux qui en proviennent sont issus de fouilles archéologiques; leur contexte de mise au jour est donc connu et documenté. De plus, les investigations de terrain livrent dans certains cas les configurations des bases de ces poêles. Ce n’est pas le cas pour les séries conservées dans des musées, qui ne sont qu’en partie localisées, et avec beaucoup d’approximations. En effet, dans le meilleur des cas, une agglomération est mentionnée comme lieu de trouvaille, cependant sans plus de précision sur le contexte de la découverte. La majorité de ces objets sont issus de fouilles anciennes où l’intérêt était porté sur le bel objet, et non l’information scientifique.

Répertoire iconographique et données figuratives

Un autre matériau d’importance est constitué par le répertoire iconographique très varié présent dans le corpus d’étude. Les motifs observés se répartissent en quatre catégories : décors architecturaux, animaliers, à personnages, géométriques et floraux. Les décors des moules offrent par ailleurs des possibilités de comparaison.

Ce répertoire iconographique est également à comparer avec les représentations de poêles. Les peintures, gravures et dessins issus des périodes étudiées constituent une des sources principales d’information; d’autres types de supports représentant des poêles (sceaux, gobelets à boire, carreaux de poêle, moules), beaucoup moins courants, sont également étudiés. L’étude des sources iconographiques intègre aussi les poêles miniatures (dont la fonction est discutée : jouet ou modèle de poêle) ainsi que les poêles de masse entiers, et parfois encore à leur place d’origine, qui ont été conservés jusqu’à aujourd’hui.

La question des sources d’inspiration des potiers/poêliers se pose également. L’architecture monumentale des lieux religieux ou des châteaux forts, la sculpture et la peinture aussi bien laïques que religieuses, les arts dits « mineurs » (tapisserie et brocart, enluminure et miniature, sculpture sur bois) et surtout les gravures des xve et xvie siècles sont autant de sources qui ont pu influencer les décors apposés sur les carreaux de poêle.

Ateliers et artisans

Les ateliers nous sont connus partiellement grâce aux archives, (règlements, comptes) ; cependant, les informations qu’elles nous livrent demeurent très minces, et les essais de localisation d’ateliers se cantonnent à l’énumération de noms de villes, où les artisans potiers/poêliers sont sans doute plus nombreux que les documents ne le laisseraient penser. De ce fait, des informations complémentaires ont été recherchées du côté des ateliers révélés par l’investigation archéologique, mais ces derniers sont peu nombreux (trois seulement : Strasbourg Grand-Rue, Saverne et Fertrupt dans le Val d’Argent) et peu voire pas publiés. Toutefois, l’étude de ces quelques sites nous a permis de faire des liens entre certains moules découverts dans ces ateliers et des motifs de carreaux mis au jour en des lieux peu éloignés.

La céramique de poêle et ses motifs : un mobilier socio-spatialisé et temporalisé ?

La dernière partie de notre travail s’appuie sur le croisement des informations livrées par le corpus des carreaux, celui des motifs, et leur localisation. Dans cette perspective, des sites emblématiques aux décors originaux, et/ou ayant livré des lots complets correspondant à un seul poêle, ont été étudiés dans le détail (le château du Petit-Arnsberg, le district minier de Sainte-Marie-aux-Mines, la place Rapp à Colmar et le site rural d’Oermingen). Nous nous sommes appuyée sur de tels ensembles afin d’établir des parallèles avec d’autres sites moins bien renseignés ou fragmentaires. La présentation de ces cas d’école a inclus un développement sur leurs fouilles et les motifs qu’elles ont révélés ; les lots complets autorisent un essai de restitution du programme iconographique. Les poêles du château du Petit-Arnsberg, du site rural d’Oermingen et d’une des maisons du site minier de Fouchelle ont ainsi été reconstitués, ce qui offre un aperçu de leur aspect global et du positionnement architectural des différents carreaux dans l’ensemble du programme iconographique. Par ailleurs, une étude des sites religieux connus et des motifs présents sur la céramique de poêle mise au jour ne nous a pas permis d’affirmer qu’il existe des décors strictement réservés aux lieux saints ou spécifiques à la Réforme, qui se diffuse en Alsace au cours de la période étudiée.

Notre attention s’est également portée sur les motifs dans l’espace géographique alsacien, c’est-à-dire sur la répartition de ceux-ci au sein de la région étudiée. Plusieurs groupes d’aires de répartition sont présents du nord au sud de l’Alsace. Toutefois, certains des décors identifiés ne s’insèrent dans aucune de ces aires car ils sont endémiques, ou au contraire présents au sein d’une aire plus vaste qui dépasse les frontières de la région8. La superposition des espaces ainsi dégagés à la carte des territoires seigneuriaux du Rhin supérieur à la fin du Moyen Âge et au début de l’époque moderne ne montre pas de corrélations entre les types de décors et les découpages politiques ; plusieurs carreaux cependant portent des blasons qui ont pu être identifiés.

À l’aide des aires de répartition de chaque motif en Alsace, un travail sur les ateliers, les circuits et les modalités d’échange de carreaux et/ou de matières premières a été engagé. L’analyse des motifs alsaciens et de leurs variantes a permis de localiser (au sein d’une zone géographique) des ateliers produisant des carreaux aux décors spécifiques ou comportant une petite variante par rapport à un même motif. Cette étude a été complétée par une démarche archéométrique, en particulier des analyses physico-chimiques appliquées au mobilier de la maison 1 du site de Berg Armo (Sainte-Marie- aux-Mines). Les résultats obtenus ouvrent des perspectives quant à l’utilisation de cette méthode pour la mise en évidence de la production d’un atelier – et donc son aire de diffusion –, de lieux d’approvisionnement de l’argile ; ils documentent aussi les aspects techniques de la fabrication des carreaux (chaque carreau à part, ou production « à la chaîne »). Une étude photogrammétrique a également été envisagée, afin de déterminer si des carreaux aux motifs identiques sont issus d’un même moule, mais le bilan des essais entrepris n’a malheureusement pas été à la hauteur de nos espérances. Enfin, les études réalisées sur les aires de répartition et d’expansion des différents motifs, mais également sur les variations observées pour un même décor, conduisent à des réflexions sur les modalités d’échange au sein de la zone étudiée, et plus largement dans l’ensemble de la zone de répartition du chauffage au poêle. Elles nous amènent à privilégier le déplacement des moules, éventuellement du potier/poêlier, plutôt que celui des carreaux, mais de nombreuses interrogations subsistent, et sans réelles preuves elles restent ouvertes.

 

Ce travail de thèse a donc permis d’établir un corpus de céramique de poêle alsacienne le plus exhaustif possible mais qui est amené à évoluer à chaque nouvelle intervention archéologique et accession à des collections privées. Son enrichissement ne pourra que permettre d’affiner encore les résultats obtenus. Le croisement des informations livrées par le corpus des carreaux, celui des motifs, et leur localisation a déjà permis de mettre en évidence une socio-spatialisation et une temporalisation d’une partie du mobilier étudié sans pour autant les attribuer à un atelier. Des études photogrammétriques et archéométriques plus poussées sont indispensables pour permettre la localisation d’ateliers. De plus, une comparaison plus systématique du mobilier alsacien à celui conservé dans les différentes collections de l’espace germanique permettrait de compléter les cartes de répartition de motifs connus en dehors de l’Alsace. De fait, cette thèse se présente comme le début d’un travail de plus longue haleine, nécessairement transdisciplinaire et transfrontalier, autour de la thématique de la céramique de poêle et de ses motifs.

2 Michel de Montaigne, Journal de voyage, 1580-1581, Paris, Éditions Gallimard, Folio, 1983, p. 102-103.

3 De fait, dans la plupart des cas, on ne connaît pas le mode d’acquisition de ces pièces ni leur provenance.

4 Rudolf Meringer, « Beitrag zur Geschichte der Ofen », Wörter und Sachen III, Heidelberg, Winter, 1912, p. 137-186.

5 Otto Lauffer, « Zur Geschichte des Kachelofens und der Ofenkachel in Deutschland », Wörter und Sachen VI, Heft 2, Heidelberg, Winter, 1914-1915, p. 

6 Jean-Paul Minne, La céramique de poêle en Alsace, Strasbourg, Publitotal, 1977 ; Jean-Paul Minne, La céramique de poêle en France : recherches sur

7 Eva Roth Heege, Ofenkeramik und Kachelofen. Typologie, Terminologie und Reconstruktion, Bâle, Schweizerischer Burgenverein, 2012.

8 Si ces motifs ne sont pas présentés en détail dans le corps principal, le catalogue qui accompagne la thèse procure les informations complètes;

Notes

2 Michel de Montaigne, Journal de voyage, 1580-1581, Paris, Éditions Gallimard, Folio, 1983, p. 102-103.

3 De fait, dans la plupart des cas, on ne connaît pas le mode d’acquisition de ces pièces ni leur provenance.

4 Rudolf Meringer, « Beitrag zur Geschichte der Ofen », Wörter und Sachen III, Heidelberg, Winter, 1912, p. 137-186.

5 Otto Lauffer, « Zur Geschichte des Kachelofens und der Ofenkachel in Deutschland », Wörter und Sachen VI, Heft 2, Heidelberg, Winter, 1914-1915, p. 145-174.

6 Jean-Paul Minne, La céramique de poêle en Alsace, Strasbourg, Publitotal, 1977 ; Jean-Paul Minne, La céramique de poêle en France : recherches sur les origines de la structure et de la forme du poêle; de la forme au décor ; étude sur quelques céramistes-poêliers, sculpteurs et peintres notables ; catalogue des dessins, des gravures et des œuvres achevées, Strasbourg, J.-P. Minne, 1991.

7 Eva Roth Heege, Ofenkeramik und Kachelofen. Typologie, Terminologie und Reconstruktion, Bâle, Schweizerischer Burgenverein, 2012.

8 Si ces motifs ne sont pas présentés en détail dans le corps principal, le catalogue qui accompagne la thèse procure les informations complètes; chacun des décors étudiés s’accompagne d’une carte de répartition montrant aussi leur étendue hors de l’Alsace. On trouvera également dans ces annexes des références à la bibliographie étrangère traitant de ces motifs.

Citer cet article

Référence papier

Delphine Bauer, « La céramique de poêle en Alsace (xive-xviie siècles) : sociétés, arts, techniques », Revue du Rhin supérieur, 1 | 2019, 229-235.

Référence électronique

Delphine Bauer, « La céramique de poêle en Alsace (xive-xviie siècles) : sociétés, arts, techniques », Revue du Rhin supérieur [En ligne], 1 | 2019, mis en ligne le 01 novembre 2019, consulté le 26 avril 2024. URL : https://www.ouvroir.fr/rrs/index.php?id=101

Auteur

Delphine Bauer

Autres ressources du même auteur

  • IDREF
  • ORCID

Droits d'auteur

Licence Creative Commons – Attribution – Partage dans les même conditions 4.0 International (CC BY-SA 4.0)